Le 11 avril en 1971, c'était Pâques. Le 11 avril, vla 49 ans, c'était mon baptême. Y paraît que j'étais pas ben belle quand je suis née. Là, vous allez dire "Aie on te croit pas, t'es tellement belle asteur !". 😛😛😛 Vous pensez que je dramatise ? "T'étais lette, t'étais trop grande, t'étais grosse pis t'étais tout croche". C'est ça que mes parents m'ont dit. Au moins, tout ça semblait oublié le jour de mon baptême. Checkez-moi ça le bonheur et la fierté de mes parents pis de mes parrain et marraine... 😬Me lève assez tard à matin, après une nuit peuplée de rêves plus fuckés les uns que les autres. Aujourd'hui, la journée s'annonce ben tranquille sans gros projet à l'horizon. Aie, c'est le weekend, faut pas charrier ! Je corrige quand même le travail d'un élève en buvant un café. Je fais un ou deux updates sur Moodle pis j'envoie des courriels à mes élèves pour leur dire que je pense à eux-autres pis que j'espère qu'y vont bien.
14h15, je me motive à sortir marcher. Y fait pas très beau ni très chaud mais j'ai besoin de sortir, autant pour mon équilibre physique que mental. Je me dis que je vais faire juste un petit tour mais de pas en pas pis de rue en rue, je marche finalement une bonne heure. Juste avant de rentrer, le soleil me gratifie même de quelques rayons. Ça fait du bien après la grisaille des derniers jours.
Au retour, je fais un peu de coloriage en écoutant de la musique. Mes gars reviennent demain. Je marine un filet de porc en prévision de notre souper. Pour ce soir, c'est pizza (de l'épicerie) devant la télé. Habituellement, la semaine que je suis toute seule, j'achète mes repas au fur et à mesure, selon mes envies. C'est pas rare que je me ramasse un poke bowl en revenant de travailler ou que je mange une ou deux fois au resto avec famille ou amis. En confinement, faut que je change mes habitudes. Quand je suis sur la fin de mon épicerie, des fois je mange des affaires plates. Depuis un mois, y'a plus de resto pis c'est pas toujours Delissio.
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